Premiers pas modestes
Trois analystes autour d'une table. On pensait qu'il manquait quelque chose dans l'accès aux données financières structurées. Les outils existants semblaient conçus pour impressionner plutôt qu'aider.
Sept années d'évolution au service des professionnels qui prennent les décisions d'investissement avec rigueur. Pas de raccourcis, juste une construction méthodique.
Trois analystes autour d'une table. On pensait qu'il manquait quelque chose dans l'accès aux données financières structurées. Les outils existants semblaient conçus pour impressionner plutôt qu'aider.
La pandémie a changé pas mal de choses. Les marchés aussi. On a dû repenser notre approche des analyses de volatilité et intégrer des métriques qu'on n'avait pas anticipées au départ.
Vingt analystes dans l'équipe. On couvre désormais les marchés européens avec une vraie profondeur. Les retours clients nous ont poussés vers des secteurs qu'on n'envisageait pas initialement.
On peaufine nos méthodes d'analyse quantitative. Chaque trimestre apporte son lot d'améliorations discrètes mais cumulatives. Les clients qui nous suivent depuis trois ans voient la différence.
Bilans comptables, flux de trésorerie, ratios de rentabilité. On décortique les chiffres pour distinguer la substance du bruit.
Backtests rigoureux, analyses de corrélation, stress tests. Les modèles qu'on construit répondent à des questions précises.
Technologies, énergie, santé, finance. Chaque secteur a ses propres métriques pertinentes. On suit les évolutions réglementaires qui changent les règles du jeu.
Nos analyses expliquent leurs hypothèses et leurs limites. Si un modèle repose sur des données incomplètes, on le précise. Les zones grises font partie du métier.
On ne publie pas pour être premier. Certaines analyses prennent trois semaines. D'autres requièrent des ajustements après relecture. La précision compte plus que le calendrier.
Les marchés évoluent. Nos méthodes aussi. Chaque analyste suit des formations spécialisées. On teste régulièrement de nouvelles approches quantitatives.
Un ratio isolé ne signifie rien. On compare toujours aux moyennes sectorielles, aux tendances historiques, aux pairs directs.
Quand les chiffres semblent trop beaux, on creuse. Les retraitements comptables, les changements de périmètre, les événements exceptionnels méritent attention.
Rapports annuels, publications réglementaires, données de marché, analyses sectorielles. La triangulation réduit les angles morts.
Chaque modèle repose sur des suppositions. On les explicite clairement. Ça permet de réévaluer quand les conditions changent.
Certaines questions n'ont pas de réponse tranchée. On présente alors plusieurs scénarios avec leurs probabilités respectives.
Les analyses vieillissent vite. On actualise nos évaluations trimestriellement. Parfois plus souvent si les événements l'exigent.
Directrice des analyses sectorielles
Quinze ans dans l'analyse financière, dont huit passés à disséquer les bilans du secteur technologique. J'ai commencé comme analyste junior chez un fonds d'investissement avant de rejoindre golotelocario en 2021. Mon travail consiste à coordonner nos équipes d'analystes et à valider la cohérence méthodologique de nos publications. Je passe beaucoup de temps à lire des rapports réglementaires et à discuter avec les équipes des nouvelles approches quantitatives qu'on teste.